Billie White ° En cours

feat Summer Glau

● Nom: White ● Prénom: Billie ● Date de Naissance : 23 Octobre 1980 ● Nationalité: Canadienne ● Groupe: Civile ● Spécialité et/ou Grade: Psychologue

QUI SUIS-JE ?

● Caractère:
Billie est une personne simple , douce et à l’écoute des qualités essentielles dans son métier. Élevée aux milieux d’une fratrie d’homme elle ne s’intéresse pas beaucoup aux babillages féminins habituels. Pourtant, c’est un vrai cœur d’artichaut qui fait souvent les mauvais choix au niveau sentimental. Les conseils qu’elle donne pour améliorer la vie des autres ne l’aide pas à gérer la sienne, à son grand désarroi. Elle est extrêmement maladroite et laisse parfois échappé des choses qu’il aurait mieux fallu taire. Elle met souvent les pieds dans le plat quel que soit le sujet. Certain prenne cela pour de l’incompétence, pourtant, elle est douée et aime son métier. Tenace, elle renonce rarement lorsqu’elle a un objectif. Elle passe de longues heures à la salle de sport pour se défouler, car en effet, malgré un calme apparent, Billie est une personne extrêmement stressée. Elle supporte mal la pression que lui apporte son métier. Elle s’est auto diagnostiqué une tendance à la dépression qu’elle soigne à l’aide de Mojito et de danses endiablées en boite de nuit. C’est une personne intelligente mais extrêmement timide qui a parfois du mal à faire entendre son point de vue. Elle se laisse souvent marché sur les pieds, cela est du à une trop grande gentillesse. Certain la jugerais trop passive, pourtant, son esprit est le théâtre de nombreuses fantaisies comiques dont elle est l’héroïne et qui l’aide à canaliser ses émotions. Elle tente parfois des blagues qui ne font rire qu’elle, mais à généralement beaucoup d’humour.
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● Physique:
A première vue, personne ne pourrais réellement penser que Billie à la trentaine. Il faut dire qu’elle n’est pas bien grande et plutôt fine. Un mètre 65 et des formes d’adolescente. Si Billie est plutôt séduisante, ce n’est pas à cause de ses atouts voluptueux. Son physique n’impose pas forcément le respect. Pourtant elle possède une bonne musculature forgée par des années de sports intensifs. Les cheveux châtain clair et ondulée qu’elle porte lâché, tombant autours de son visage, la plupart du temps. Elle les attaches parfois lorsqu’elle travaille. Cela va de paire avec son « uniforme » de psy, blouse blanche et lunette de vues ovales. Elle possède un petit visage carrée aux traits doux qui lui donne un air calme et enfantin. Sa peau est blanche et pale malgré tout ses efforts pour prendre des couleurs. Ses yeux sont noisettes et ourlés de cils étonnamment longs. Elle a une tache de naissance sur le sourcil gauche qu’elle ne tente pas de camoufler, en fait elle en est même plutôt fière. Elle se définit elle-même comme un garçon manqué et porte rarement autre chose que la combinaison gagnante Jean/T-shirt/Basket qu’elle apprécie particulièrement. Elle se maquille rarement, sauf lors des occasions importantes ou elle tente de faire un effort. Elle aimerait parfois être plus féminine et lors de moment de folie enfile une panoplie de femme fatale plutôt déroutante composé de robes et talons haut même si elle a du mal à marcher lorsqu’ils dépassent plus de deux centimètres. Finalement elle revient toujours aux vêtements ou elle se sent le plus à l’aise et qui corresponde à sa personnalité simple. Elle ne porte que peu de bijoux, si ce n’est des boucles d’oreilles, de toutes les formes et de toutes les couleurs dont elle fait la collection. Elle apprécie le fait de porter des couleurs vives qui lui vont bien au teint et qui donne un peu de gaité dans le monde de bétons et d’uniforme verts qui l’entoure. Elle sourit souvent et fait très attention à sa dentition, souvenir douloureux d’un appareil dentaire porté durant son adolescence.

QU'AIS-JE FAIT

● Histoire:


Le 23 Octobre 1980, la télévision canadienne diffusait un épisode de Dallas où J.R trompait Sue Ellen avec sa sœur, Arthur White signa le plus gros contrat de l’histoire de White Oil et sa femme donna naissance à leurs 6 éme enfant. La seule et unique fille. Un événement si surprenant que désemparé devant le landau rose, ils n’eurent pas d’autre idée que de lui donné un nom de garçon. Elle s’appellerait Billie, comme son grand père.

Cela aurait été un honneur pour n’importe quel petit garçon de porter le nom de son papi, qui plus est si celui était l’un des hommes les plus riches du canada. Un « Self-made man » comme l’économiste aimait tellement l’appeler. Partit de rien, il s’était lancé alors que personne n’y croyait, dans l’exploitation du pétrole. Il y fit fortune et fut bientôt à la tête d’un empire de plusieurs milliards de dollars.
Autant dire que l’enfance de Billie ne fut pas malheureuse. Loin de l’image caricaturale de l’enfant élevé par une ribambelle de nounous, elle vécue choyé par ses parents. Avec ses 8 frères, oui 8, elle grandit dans une grande maison au milieu des plaines canadienne. Une vraie fratrie, faite de cri et de pagaille. Le frigo toujours remplit en primes.

Sa mère aurait voulu qu’un percepteur s’occupe de leurs éducations, pourtant, son père soutenait que l’école publique était un bon moyen de faire garder à ses enfants privilégié le sens des réalités. Meredith White avait surtout peur qu’on kidnappe ses enfants pour demander une rançon. Billie fut un déçue de ne jamais s’être fait kidnapper, elle s’ennuyait un peu et espérait parfois que sa vie soit un peu plus comme un épisode de Dallas. Il y avait tout les éléments pour. Du pétrole, de l’argent et de grandes familles rivales. Mais le canada, ce n’était pas le Texas et sa famille se bornait à être heureuse et sans grand intérêt.

Alors, dés qu’elle eut l’occasion de partir et aux grand damn de ses parents, elle partit faire des études. Loin, très loin du ranch familial. Bien sur, elle ne refusa pas l’aide financière qu’on lui proposait et partit étudier aux Etats-Unis.

Elle était intelligente et les études de psychologie qu’elle entreprit ne lui posèrent pas trop de problème. Elle avait choisit cette pour « aider les autres ». On lui avait toujours dit qu’elle était beaucoup trop gentille pour le monde des affaires. De toute façon, étant la 6 éme sur l’arbre généalogique, il y avait finalement peu de chance qu’elle hérite de l’entreprise.

Elle aurait pu devenir profiler et traquer Hannibal Lecter, mais la seule opportunité qu’elle trouva fut de travailler avec l’armée à Dallas, au Texas.

« L’armée ? Billie l’armée ? L’armée américaine en plus ? Mais qu’est-ce que tu crois qu’ils vont te faire ! Ils vont te tailler en morceaux. »

Personne ne l’a tailla en morceau, en fait son travail consistait à entendre et aider les soldats qui revenait du front. Elle se prit d’une passion surprenante pour son travail. Son enthousiasme se sentit et rapidement on lui proposa de faire autre chose. On avait besoin de psychologue sur le terrain. L’ONU recherchait des civils pour partir avec les casques bleu, elle aurait voulut partir.

A présent, elle voulait voyager. Malheureusement, un imprévue l’en empêcha. 3 kilos 2, et des cheveux à la naissance. C’était un garçon et il s’appelait Théo.

Elle avait rencontré John quelques mois auparavant. De 25 ans son ainé, déjà deux divorces à son actif. Un architecte sa sonnait bien. Elle aurait du se méfier. Pourtant, elle en tomba vite amoureuse et l’épousa. Son père la poussa fit signer un contrat de mariage « au cas ou ». Dieu l’en bénisse chaque jour, il s’en ait tiré sans un sous. Par contre il prit son fils. Oh il voyage bien entendue, avec Svetlana, un mannequin russe pour les maillots de bains.

Oh il lui avait dit qu’elle pouvait partir, si c’était son désir, il veillerait sur leur fils pendant la mission, elle reviendrait et tout serait comme avant.

Il avait profité de sa mission au Kossovo pour conquérir Miss URSS et lui laisser les papiers du divorce sur la table du salon.

Parfois, elle se demandait si elle était une mauvaise mère comme le lui avait dit la juge qui lui avait retiré la garde de son fils. Et tout les meilleurs avocats, les plus réputés et les plus cher n’ont rien pu y changer. Elle n’avait pas eu le temps de le connaitre pour savoir quel type de maman elle serait. C’était difficile au moment de noël et des anniversaires. Elle le voyait parfois, pendant les vacances scolaires si son père était dans le bon hémisphère. Son père n’était plus avec Slevlana. Elle était brésilienne à présent, mais son nom était sans importance. Son fils grandissait sans elle. Parfois elle avait du mal à se souvenir de son visage. Elle était presque une étrangère pour lui.

Elle n’avait plus rien à perdre ici. Alors elle se plongea corps et âme dans le travail.

A 25 ans, elle était divorcé, maman d'un petit garçon elle avait parcourue une partie du monde. Les zones de conflit, elle avait vu la guerre, elle avait vu l’horreur et entendu des choses qu’elle aurait préféré de jamais entendre.
Pourtant rien ne l’avait préparé à ce qu’elle allait voir.

Antartique, 2004

Une mission de routine avec des scientifiques. L’extraction de carottes de glaces pour des analyses, supervisé par l’US ARMY, qui d’autres ? On l’avait envoyé pour surveillé le moral des scientifiques isolées plusieurs mois sur des étendues de glace. Ce n’était pas ce qu’elle faisait habituellement, mais elle avait trouvé l’opportunité sympathique.

Il faisait plutôt beau ce jour là, relativement chaud ( tout est relatif en antarctique) et elle avait vu des vaisseaux spatiaux se tirer dessus. Des vaisseaux spatiaux, au dessus de l'antarctique.

Elle avait cru à une hallucination dut au froid. Elle pensait être dans un épisode de délire, elle essayait de s’infliger une auto-thérapie. Mais tous l’avaient vu. Tous l’avaient entendu. Et à moins d’une hallucination collective, ils n’étaient pas fous, du moins pas encore.

Ils n’eurent pas de réponses à leurs questions pendant plusieurs jours, tendant de joindre par radio les autorités, ils étaient coupés du monde et cela dégénéra entre paranoïa, crainte de la fin du monde, les menaces envers les militaires qui devaient être au courant. Elle essaya de gérer la crise comme elle le put et s'en sortit plutôt bien, la situation dura un temps qui leurs paru à tous une éternité. Jusqu'à ce qu’un homme dans un joli uniforme de l’US Air Force viennent leurs dire que la mission était terminé. Qu’on allait les ramenés chez eux et qu’on leurs expliquerait tout en chemin.

En fait, techniquement, on ne leurs expliqua pas TOUT dans l’hélicoptère. Oui il y avait eut une bataille, mais non ce n’était pas des extraterrestre, juste des prototypes. La Corée du nord était une sacré blagueuse. Bien sur il ne fallait pas en parler. Oh et signer en bas du formulaire de confidentialité. Ne parler de ca à personne, sous peine de se voir poursuivre pour trahison.

Billie aurait préféré se coupé les deux mains plutôt que d’en parler à qui que ce soit. On l’a prendrais pour une folle, c’était plutôt ironique pour une psy.
Pourtant, elle n’était pas folle.

« Mademoiselle Billie White ? »

L’homme à la porte portait un uniforme de L’US AIR FORCE , encore.

« De White Oil je présume ?

- Il y a beaucoup de White au Canada vous savez. »

Il avait sourit.

« Dites moi mademoiselle White, avez-vous déjà visité le Colorado ? »

Elle ne se souvenait plus vraiment de ce qu’il lui avait expliqué. Elle se souvenait juste avoir réfléchit à ce qu'on avait pu mettre dans son café pour qu'elle y croit aussi vite.
Des portes, qui permettent de voyager à travers la galaxie, vraiment ?

« Nous avons eut des échos positifs à votre sujet de la part de vos supérieur à Dallas et dans les nombreuses missions que vous avez effectuer en collaboration avec l’armée américaine. De plus vous avez été témoins d’une bataille avec d’autres civils et avait géré la situation avec brio. »

Les heures qu’elle avait passé à pleurer sous la douche avait du leurs échapper.

« Vous vous doutez bien que personne ne sort indemne de ce genre de conflit. Nous avons besoin de médecins et de psychologue en grand nombre. Seriez-vous intéressée pour travailler avec nous ? »

Théo était en Australie avec son père, ses parents en sureté au canada. Il n’y avait qu’elle. Et dans élan égoïste, elle accepta.

« Bienvenue au SGC. »

C’était beaucoup de parasses et de rapport à rédiger. Mais les hommes et femmes du programme avait besoin qu’on les écoutes. Qu’on les rassure. Elle s’en sortait bien. Une fois le choc de la découverte de tout ca passé, c'était un métier plutôt agréables. Surtout à présent que les militaires ne risquait plus de revenir avec un serpent dans la tête. Elle avait toujours détesté les serpents.




● Précisions:


° Après un soir de beuverie et suite à un pari, elle a un drapeau canadien tatoué sur les fesses.

° Elle passe la grande majorité de son temps à errer sans but dans les couloirs du SGC à la recherche de quelque chose à faire.

° Elle a un fils qu'elle a eut très jeune et qu'elle ne voit que très rarement.

DERRIÈRE L'ECRAN.

● Pseudo&Age: Lou, 19 ans
● Comment avez-vous connu le forum ? Comment le trouvez-vous ?

J’aime beaucoup le design , et j’ai connu le forum grâce au Docteur *out*

● Code du règlement:

Spoiler:

Les fautes son catastrophiques et il y a encore des incohérences. Je corrigerais ca demain quand je serais en état.